Chaque année, à la même période, les boîtes de réception se remplissent de vœux de rentrée dégoulinants d’enthousiasme, de slogans réchauffés, et de promesses d’un « nouveau départ » comme si septembre effaçait tout ce qui a précédé.
Et chaque année, je me tiens à distance de ce concert d’intentions bruyantes.
Non pas par posture, encore moins par cynisme. Mais parce que je crois, profondément, que la rentrée ne devrait pas être un feu d’artifice d’effets d’annonce… mais un retour à l’essentiel. Un moment de clarté, presque clinique, où l’on remet à plat ce qui mérite de l’être.
🧩 Reprendre ses fondamentaux.
📊 Réévaluer ses canaux.
📐 Réinterroger son positionnement.
🎯 Et surtout : remettre la stratégie au centre de la table.
Car si l’été a le mérite de suspendre le bruit ambiant, septembre, lui, offre l’occasion rare d’un réajustement lucide. Un moment charnière où il est encore temps d’agir sur les derniers mois de l’année… à condition de ne pas se disperser dans des actions sans direction.
Je le vois trop souvent : des entreprises qui relancent leur communication en oubliant de s’interroger sur leur cohérence globale. Des sites qui s’habillent pour l’hiver sans que personne ne se demande si le message est toujours juste. Des campagnes qui s’empilent sur un branding qui vacille.
Or, une bonne stratégie, c’est d’abord une architecture.
Et une bonne rentrée, c’est celle où l’on renforce les fondations.
Chez Ricciarelli Consulting, nous n’avons pas de rentrée « survoltée », de « grandes annonces » ou d’offres limitées dans le temps. Nous avons simplement repris notre rythme de croisière, méthodique, concentré, exigeant.
Nous auditons, nous conseillons, nous structurons.
Et parfois, oui, nous exécutons – mais toujours avec une boussole stratégique.
La communication mérite mieux qu’une agitation de rentrée.
Elle mérite un cap, une colonne vertébrale, une direction.
Et si septembre devenait enfin cela : un mois d’alignement.
